**Logement, rénovation, automobile : la feuille de route du ministre de l’Économie provoque un tollé**
Dans une déclaration choc, le ministre de l’Économie a présenté une feuille de route controversée sur la rénovation énergétique et l’électromobilité, suscitant une vive réaction au sein de l’Assemblée nationale. Alors que le gouvernement cherche à réduire les coûts, des experts avertissent que les mesures proposées pourraient déstabiliser l’ensemble du secteur de la rénovation thermique, menaçant potentiellement 200 000 emplois.
Le ministre a été interpellé sur les conséquences de l’instabilité administrative, rappelant les erreurs du passé avec le PINEL et le PTZ. Les critiques soulignent qu’en bloquant les aides à la rénovation, le gouvernement met en péril des artisans et des entreprises déjà fragilisées. Le secteur de l’électromobilité n’est pas épargné : les politiques de soutien se réduisent alors même que la dépendance aux énergies fossiles coûte 60 milliards d’euros par an à la France.
Les députés ont exprimé leur inquiétude face à une approche jugée désordonnée. “Nous ne pouvons pas continuer à jouer avec la santé de l’économie”, a déclaré un élu, plaidant pour des solutions durables qui allient innovation et soutien financier. Les mesures proposées, loin de favoriser la transition énergétique, pourraient aggraver la situation économique et sociale.
Face à une opposition grandissante, le ministre a tenté de défendre sa vision, affirmant que des bornes de recharge et des primes pourraient suffire à transformer le paysage automobile. Cependant, ces propos ont été accueillis avec scepticisme, les experts avertissant que sans un cadre clair et stable, la transition vers des véhicules électriques risque de stagner.
Alors que le débat fait rage, la question demeure : la France est-elle prête à sacrifier des emplois et à compromettre ses ambitions écologiques pour des économies à court terme ? Les enjeux sont colossaux, et le temps presse. Les acteurs du secteur appellent à une mobilisation générale pour éviter un cataclysme dans l’économie verte.