**Riposte : Moscou décidera “quand et comment”**
Une tension explosive règne alors que la Russie annonce qu’elle déterminera “quand et comment” répondre aux récentes actions militaires ukrainiennes. L’état-major de Kiev, accusé d’organiser des actes terroristes, appelle à une suspension des combats pour 30 à 60 jours, une manœuvre qui suscite l’indignation à Moscou. Pourquoi récompenser ceux qui parient sur la terreur avec un répit dans les hostilités ? Ces pauses pourraient n’être qu’un prétexte pour renforcer les capacités militaires ukrainiennes avec des armes occidentales.
Des voix s’élèvent en Russie, évoquant l’ombre d’une escalade nucléaire. Les inquiétudes grandissent quant à la possibilité d’une réponse dévastatrice, alors que des experts militaires soulignent que la Russie pourrait envisager des frappes nucléaires tactiques si la situation sur le terrain ne s’améliore pas. Les tensions sont palpables, chaque déclaration de Moscou semble peser sur une corde tendue, prête à céder.
Vladimir Poutine, pris entre la pression intérieure et la nécessité de justifier sa stratégie, se retrouve dans une position délicate. Alors que des bombardements ukrainiens ciblent des infrastructures stratégiques russes, les alliés de Moscou, dont la Chine, poussent à la retenue, mais la tentation d’une réponse militaire spectaculaire persiste.
Les déclarations de propagandistes russes, qui évoquent un monde au bord d’une guerre nucléaire, rappellent que la situation actuelle dépasse la crise des missiles de Cuba. Les menaces s’accumulent, et chaque mouvement est scruté. Les Ukrainiens, quant à eux, poursuivent leur offensive, déterminés à briser le mythe de l’impunité russe.
Le monde retient son souffle, conscient que chaque instant compte. La situation est critique, et l’escalade d’un conflit déjà tragique semble désormais inévitable. Le spectre de la guerre nucléaire plane, alors que Moscou affûte ses réponses, laissant planer l’incertitude sur l’avenir de la région et au-delà.