**Palestine : Londres met la pression sur Israël**

Dans une tournure dramatique des événements, le Premier ministre britannique a annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait l’État de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre, intensifiant ainsi la pression sur Israël au moment où la guerre avec le Hamas fait rage. Cette déclaration, qui fait écho aux récentes initiatives de la France, vise à relancer le processus de paix et à mettre fin à la violence.

Sir Keir Starmer a clairement indiqué que la reconnaissance de la Palestine serait conditionnée à un cessez-le-feu et à la fin de la famine à Gaza, une approche diamétralement opposée à celle de la France qui prône une reconnaissance immédiate. Les tensions montent alors qu’Israël, sous la direction de Benjamin Netanyahou, envisage un plan d’annexion de Gaza, déclenchant des réactions indignées au sein de la communauté internationale.

Les déclarations de Starmer soulignent l’urgence d’agir, alors que la situation humanitaire à Gaza continue de se détériorer. Les experts avertissent que sans une intervention rapide, des millions de vies pourraient être en danger. Les critiques israéliennes accusent les dirigeants britanniques de “récompenser le terrorisme” et de “punir les victimes”, tandis que les appels à la paix se multiplient.

La France et le Royaume-Uni, deux membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, pourraient ensemble créer une dynamique nouvelle. Cependant, la question demeure : cette pression suffira-t-elle à faire plier Netanyahou ? Les enjeux sont colossaux, et le monde attend des actions concrètes face à une crise humanitaire sans précédent.

Alors que la communauté internationale se prépare à une confrontation diplomatique à New York, les heures qui viennent pourraient s’avérer décisives pour l’avenir du Moyen-Orient. Les yeux sont rivés sur les décisions qui seront prises, car l’horloge tourne et l’urgence de la situation ne saurait être ignorée.