**Taxes : la France ne veut pas en rester là !**
Les tensions commerciales entre l’Europe et les États-Unis franchissent un nouveau cap ! Alors que les 27 États membres de l’Union européenne se préparent à des négociations cruciales sur le commerce extérieur, la France, sous l’impulsion d’Emmanuel Macron, annonce qu’elle ne se contentera pas des résultats actuels. La présidente de la Commission européenne a reçu un mandat pour défendre les intérêts de l’ensemble des États, mais des doutes subsistent sur la clarté de ses instructions, notamment de la part de la France.
Thierry Breton, commissaire européen, a exprimé son inquiétude face à l’absence de directives claires de la part des grandes puissances européennes comme l’Allemagne et l’Italie. Alors que les États-Unis imposent un tarif de 15 % sur certains biens, la France craint que ses secteurs clés, notamment le luxe et l’agroalimentaire, ne soient pas suffisamment protégés. La ministre a déclaré qu’il était impératif de soutenir les entreprises françaises, déjà en difficulté face à une tempête économique sans précédent.
Les discussions s’annoncent tendues. La France est déterminée à ne pas être le “dindon de la farce” et à explorer toutes les options, y compris la possibilité de taxer les services numériques. Cependant, cette approche pourrait être controversée au sein de l’UE, où de nombreux pays craignent une escalade des tensions avec Washington.
Alors que les négociations doivent débuter, l’urgence est palpable. Les entreprises françaises, dont plus de 50 % dépendent de leurs échanges avec les États-Unis, regardent avec anxiété l’évolution de la situation. La France doit-elle se battre pour ses intérêts ou accepter une position de faiblesse ? Le temps presse et les enjeux sont colossaux. La réponse de la France pourrait bien redéfinir les relations transatlantiques pour les années à venir.